Visualisez des cascades de lumière qui emplissent les rues

Visualisez des cascades de lumière qui emplissent les rues

Voyez les deux plans. Nous vous ramenons l’art de l’harmonie, le rythme juste du déploiement de ce que vous nommez un jour, le rythme juste permettant le déploiement de tous les aspects de l’individualisation. En soi, le rythme est le juste rythme de l’incarnation.

Et voyez simultanément l’autre plan. Il est vrai, selon le point de vue du temps linéaire, l’on pourrait dire cette période est transition. Il est vrai, dans cette période de transition pour beaucoup ce n’est pas facile. Beaucoup semblent enfermés. Vous le savez, les deux côtés du pendule. Le pendule oscille très loin dans le déploiement de la beauté de la vie et parallèlement très loin dans l’enfermement, la cristallisation ou la crispation. Et le collectif de l’humanité porte cet oscillement.

Le positionnement est d’autant plus vital. Pour vivre confortablement cette transition, restant ancré dans son intention profonde, le rythme d’harmonie est d’autant plus vital. Choisissez délibérément de ralentir le rythme. L’oscillation vers plus de crispation semble entraîner la folie de ce rythme qui s’entraîne et s’emballe plus vite, plus, plus de contrôle, plus…

Sortir de cet emballement, retrouver le rythme juste et se laisser nourrir de la simple beauté du déploiement de la vie d’harmonie. Sortir du rythme emballé, se poser en soi. Si vous choisissez d’habiter dans les villes, choisissez régulièrement d’en sortir et de vous ressourcer. Dans ce qui semble être cette période, cela est vital. Se ressourcer, se ressourcer à la nature, se réharmoniser au rythme du jour. Se réharmoniser au rythme de simplicité. Souvent mettez vos pieds nus sur la terre, et en conscience offrez-vous à Gaia, l’énergie divine de la terre.

Ne mettez pas l’attention sur ce qui semble lourd. Nous insistons, nous conjurons même l’humanité, ne pas mettre son attention sur ce qui semble lourd. Le grand passage – si l’on peut parler de grand passage car il n’est pas de passage, sur l’autre plan, il n’est que la divinité -mais sur ce plan de transition, le grand passage se fait uniquement en cessant de soucier de ce qui semble lourd.

Ne vous attristez pas de la pollution. Cherchez les lieux purs et nourrissez les lieux purs de votre amour, de votre gratitude. Ne vivez pas en parasite qui cherche éperdument à être sauvé, secouru, vivez en être de gratitude, de simplicité, en être qui en conscience choisit le rythme juste. Et donc tous les jours les pieds nus, vous nourrissez la terre et vous laissez nourrir. Tous les jours, vous accroissez le dynamisme, bougez le corps. Tous les jours, laissez un espace ludique, un espace d’étude, un espace de créativité, tout cela dans l’équilibre du choix délibéré d’honorer le bonheur.

C’est ainsi que vous œuvrez pour le grand passage. Sortez de l’engrenage et de l’enchaînement, de l’addiction au drame, au lourd, au vite, au pesant, au danger imminent. Il n’est pas de danger, nous le redisons, il n’est pas de danger, il est l’heure du choix. Faites le choix juste pour récolter selon le choix, telle est la loi de l’incarnation et la loi maintenant dans ce qui semble être le grand passage. La loi est d’autant plus actuelle.

Vous le savez, autant il est un égrégore, un collectif du pesant, le collectif des émotions crispées, des ego torturés, des mentaux déchaînés, autant il est un collectif, une fraternité de l’harmonie, de l’ouverture, du déploiement, de l’infini bonheur. Là aussi, chaque pensée vous relie à l’un ou l’autre des collectifs.

S’il est une technique, alors maintenant la plus opportune des techniques est d’avoir une discrimination extrême sur la nature et la qualité de vos pensées et de vos émotions, la nature et la qualité de votre nutrition, de votre hydratation, la nature et la qualité de votre attention.

Reliez-vous à l’éternelle flamme qu’est la fraternité. La fraternité est fraternité de joie très réelle…

Ressourcez-vous très régulièrement, ressourcez-vous à l’énergie de la fraternité, à l’énergie de la nature. Allez honorer les cascades, les points d’eau autour de vos demeures. Et si vous demeurez dans les villes, soyez flamme de bénédiction. Choisissez de marcher dans les rues de vos villes simplement pour bénir ce que vous rencontrez, ce que vous voyez et ce qui est présent sans que vous le voyiez. Marchez dans les rues de vos villes, unissez-vous à la fraternité. Pendant que vous marchez dans les rues de vos villes, visualisez les cascades de lumière qui emplissent les rues.

Comprenez-le, vous êtes la fraternité. Le grand passage est actualiser que vous êtes membres de la fraternité. L’attention crée. L’attention sur la personne demandant à être secourue nourrit l’enfermement dans la personne. L’attention sur la fraternité qui se sait bénédiction vivante, qui se sait gratitude, qui se sait l’infini bonheur, qui se sait l’infini déploiement naturel vers toujours plus et plus de plénitude et d’ananda – car seul est cela – cette attention actualise cela. Le grand passage est dans le choix de l’attention. S’il est une rigueur, qu’elle soit sur la nature de vos pensées, de vos émotions, de votre nutrition, de votre hydratation, de vos fréquentations.

Rassemblez-vous. Plus que jamais, l’heure est propice au rassemblement de la fraternité par l’intention et par l’action physique de se retrouver dans un même lieu, lieu de pure beauté.

Nous vous remercions.

Source : http://anandamath.org

(Visited 30 times, 1 visits today)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.