Alors que certains croyaient que viendrait le train des anges

Alors que certains croyaient que viendrait le train des anges

Alors que certains croyaient que viendrait le train des anges qui amènerait l’humanité vers une autre fréquence, l’humanité a la puissance des anges. Il est beau de retrouver cette fermeté de l’affirmation, du retour à soi, du retour à cet état où seule est la bénédiction.

Voyez, alors que beaucoup croient la Terre enlisée et l’humanité enlisée par quelque chaîne ou quelque pouvoir qui voudrait manier les chaînes, la démonstration est claire, il suffit d’un être ou d’une poignée d’êtres ayant une énergie posée fermement dans l’affirmation de la vision pour que la bénédiction se transpose concrètement…

Vous le savez, l’heure est venue de tourner la page. Cela fait longtemps que la fraternité le murmure sur bien des registres, avec bien des mélodies. Les termes varient peut-être mais la réalité reste la même, ne regardez jamais ce que les autres font, œuvrez, vous, en harmonie totale avec l’éthique la plus pure au niveau du comportement, de la parole, de la pensée.

L’on ne peut croire bénir si à d’autres moments l’on critique. L’on ne peut croire œuvrer ou créer si l’attention vagabonde entre des apparents délires et la vision pure et juste. Car chaque vagabondage donne de l’énergie, chaque regard donne de l’énergie, chaque parole, chaque pensée, donnent de l’énergie…

Ainsi l’ouverture ne peut que s’accompagner de ce retour à l’éthique absolue. Bénir est un état de vie. Être la conscience témoin est un état de vie, et inhérents à ces états de vie sont des codes, des modes de relation, de comportement, de pensée, de parole, d’action.

Cela a été dit et redit, on ne peut avoir ses pieds dans deux barques à la fois. On ne peut regarder la paille dans l’œil de son voisin, quel que soit le voisin, qu’il soit simple voisin ou président, ou quoi d’autre… On ne peut regarder la paille et ignorer la poutre qui rend possible que l’on perçoive la paille, car si l’on perçoit la paille, c’est que l’on ignore la poutre qui bloque la vision de perfection.

La dévotion inhérente à ce temps d’ouverture est bien de porter la vision de perfection et d’honorer la plus belle éthique, celle qui honore la perfection à travers chaque parole, chaque pensée, chaque action, chaque intention, pour qu’ainsi chaque intention soit jaillissement de cette lumière qui est bénédiction et qui initie les miracles…

Ne considérez pas les potentiels dangers, cela est révolu. L’heure est à la création, la manifestation et la précipitation. L’une des lois les plus fondamentales de la précipitation est de cesser irrémédiablement tout mode de critique. Certains diront peut-être « mais on doit voir les pièges pour les éviter ». Non. On doit voir le plein soleil du but, sa beauté et la clarté qui illumine ce but, cette destination et par la puissance de l’énergie qui bénit, la puissance de la verticalité, la puissance de la bonté et de la bienveillance, présenter un aimant irrésistible, le plus fort de tous les aimants qui puisse exister dans la création, qui aimante naturellement l’enfance de la Terre dans cette énergie d’infinie protection, qui aimante naturellement l’humanité dans cette certitude de fraternité. Ce champ de toute-puissance ne peut qu’être depuis l’énergie qui croît en intensité, accompagnée de ce lâcher-prise total de tous les anciens modes…

Bien réelle l’ouverture, mais on ne peut considérer à la fois l’ouverture et des apparences de fermeture. L’on doit choisir. Laisser les dérisions à ceux qui s’en nourrissent. Le choix doit être inconditionnel.

Certains diront peut-être « on doit savoir ». Non. On doit connaître la nature de l’Être et œuvrer à la manifester pleinement. L’histoire humaine a vu encore et encore la puissance d’un être que l’on dit illuminé qui transfigure la surface de la Terre et sa profondeur. Chaque être peut choisir d’être cet être.

Le choix, de nouveau, ne peut qu’être intransigeant. Mais n’est-ce pas cela l’incarnation ? Visualiser une Terre qui ne connaît que la bénédiction. Ces mémoires sont autant enfermées dans vos cellules que les mémoires des corps de souffrance. Il est bien plus de mémoires de l’éternité d’harmonie que celles du corps de souffrance. A chacun et chacune de choisir.

Visualiser la Terre baignée par la bonté des êtres humains.  Et la bonté, n’est-ce pas, ne connaît pas la critique, ni le jugement, ni l’étroitesse d’esprit, ni la dureté. La bonté ne connaît que l’amour bienveillant, la clarté qui sait percevoir la perfection au sein de toutes les apparences…

Porter la vision de la guérison de chaque être. Porter la vision depuis la bonté car la bonté est le prérequis, la bienveillance et le refus absolu de rester amarré à ces chaînes d’habitudes qui font que l’être humain encore et toujours critique, juge et se croit justifié. Rien ne peut justifier la critique ou le jugement. Rien. Que l’autre soit voisin ou président, peu importe.

L’éveil de l’humanité se mesure dans ce retour à cette intégrale bonté qui n’admet pas son opposé par expression de critique ou de jugement. L’on ne peut dire « il faut bien être objectif ». Critiquer n’est jamais être objectif, ce n’est qu’exprimer ses propres méandres. L’autre n’est pas.

Alors il faudrait que l’humanité comprenne l’infini de sa puissance maintenant. Si tous ceux et celles qui veulent bénir l’enfance veulent bien choisir d’être bénédiction, la puissance de cette énergie est miracle vivant. Et si quelque stratagème, quelque circonstance semblaient se présenter, ils s’en trouveraient de suite neutralisés. Encore faut-il comprendre et appliquer.

L’humanité, vous le savez, est divinité. Par quelques méandres et quelques habitudes, les humains ont cru faire le Divin à leur image de petitesse, oubliant que l’humain est divin dans sa grandeur totale.

Vous l’avez entendu, l’heure est au grand choix. Les choix ne peuvent plus être petits. Ils ne peuvent qu’être irréversibles. Et l’on ne peut faire deux choix opposés simultanément. Cela serait à l’opposé des lois. Il faut bien que certains se démarquent des chaînes d’habitudes et choisissent de créer cette réalité, précipitation de la vision de l’humanité divine.

Auteur : Agnès Bos-Masseron 

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