Ce futur que vous espérez tant se manifestera
« Tout va se produire maintenant, tout va arriver comme tu le souhaitais, comme vous le souhaitiez, si vous êtes en alignement avec votre âme, en paix, alors ce futur, que vous espérez tant, tous et toutes, se manifestera.
Ce futur sera grandiose.
Il sera la conjugaison de tous les possibles, ceux là d’un ordre de grandeur indéfinissable, car chacune de vos pensées de lumière démultiplie cet horizon, de sorte qu’il s’étire à l’infini.
Une multitude de possibles a à présent éclot.
La pensée n’a pas de fin et n‘en a pas besoin, elle fait son chemin naturellement, dans le vide spatial et partout ailleurs, elle part de votre cœur, elle éloigne les horizons incertains, balaie le doute et cultive l’espoir.
L’espoir est une idée bien ancrée en vous à présent, chers Enfants.
Oui, nous le voyons bien, nous voyons bien vos yeux briller lorsqu’il est question d’espoir, nous anticipons tous les possibles, nous aussi, et nous savons combien les cœurs meurtris de la Nouvelle Terre, de cette Nouvelle Terre que vous êtes en train de dessiner, aspirent à la paix.
Cette Paix est possible dès maintenant en vous, au plus profond de vous.
Nous le voyons, nous le savons, vous le savez aussi, vous le sentez, jour après jour, vous sentez cette belle idée de paix de se poser sur vous et faire son chemin. Elle aspire à se déposer partout, votre Terre le veut aussi, bien sûr, et il est temps de lui en faire le cadeau. Ne trouvez-vous pas ?
Jamais dans l’obscurité, toujours dans la lumière, la paix advient.
Elle manifeste son penchant pour trouver un chemin, elle suit votre cœur, et se rapproche de vous, alors qu’elle a toujours marché à vos côtés, elle s’invite dans vos vies de plus en plus et vous la laissez venir. Vous l’accueillez dans tous les aspects de votre vie avec confiance.
Vous laissez ce manteau de paix, cet horizon pur vous recouvrir, comme peut le faire la neige pour abriter les bourgeons des fleurs les plus belles.
Nous voyons déjà vos cœurs luire de ces idées nouvelles, de générosité, cet étonnement candide lorsqu’une main amie se tend vers vous. Vous avez envie de donner, bref, d’aimer tous les autres occupants de cette planète.
Vous souhaitez leur dire que beaucoup de choses, qui ont été écrites voici bien longtemps et habilement déformées, pour dicter nombre de traditions sans objet, ne sont pas importantes, ne sont plus importantes et qu’il faut se serrer la main. Il faut se serrer la main, et aller au delà de ce qui sépare l’être humain dans son ensemble, car tous les êtres sont liés comme les feuilles d’un arbre.
Il n’est point souhaitable que vous subissiez le revers des erreurs commises par ceux qui vivaient là avant vous. Vous ne le souhaitez plus, n’est ce pas ?
Alors pourquoi vous enraciner dans ce passé bien loin et révolu ? Laissez le s’en aller et la paix se fera.
Donc, allez au delà, osez !
Oubliez la méfiance que vous dictent les journaux sur fond de récupération politique douteuse, de croisade contre « l’étranger », le nouveau, la pureté, la simplicité.
En cloisonnant les populations, il est plus aisé de manipuler les esprits. En assimilant une partie de la population du monde aux instigateurs de ces violences, vous utilisez les raccourcis des journalistes, vous effectuez une erreur bien regrettable.
Ne tombez pas dans ce piège chers enfants !
La désignation d’un « bouc émissaire » rappelle tristement votre Moyen Age.
Cette partie de la population est innocente et réprouve comme vous de si cruelles actions. Ces personnes ce sont des familles, des mères, des pères, des enfants.
Vous êtes forts, bien avisés, vous qui lisez ce message, et vous sentez que tout est fait pour diviser afin de mieux régner.
Faites fi des barrières sociales, ethniques, politiques, religieuses et culturelles. Toutes ces différences sont là pour vous enrichir, pour vous montrer que l’autre est une nouvelle facette de vous-même.
En allant au delà, vous achevez de tracer les lignes inachevées, vous placez des ponts là où il n’y en avait pas, et cela est prodigieux !
Nous vous répétons que tout est possible, que cela viendra nécessairement, soyez inébranlable dans votre volonté de désirer cette paix.
Cette volonté est légitime et toute perturbation s’épuise d’elle même, le caillou lancé avec force sur la surface tranquille d’un lac, finit de rebondir et s’enfonce toujours dans l’eau. Ensuite, l’eau retrouve sa stabilité.
Nous voyons ces ricochets s’estomper de plus en plus. L’usure gagner les agitateurs de votre monde, ceux que l’idée de quiétude répugne au plus haut point, ceux qui n’ont que faire de la vie, qui agissent de manière masquée pour diviser les consciences.
Laissez ceux là, laissez-les de côté, ils ont accompli leur rôle et même s’il ne s’en rendent pas encore compte, leurs actions aussi incompréhensibles soient-elles à vos yeux, ont servi malgré tout l’idéal de paix, l’ont glorifiée, l’ont rendue inexpugnable de votre monde, de vos cœurs.
Car toutes ces horreurs, toute cette violence magnifient les instants de tendresse que vous pouvez échanger entre vous, ils rassemblent tous les hommes de votre temps. Et par hommes, nous entendons, tous les pays.
Nous aspirons à réunir les consciences, vos consciences, et les nôtres. Nous sommes Un.
Il est rare de trouver des mondes aussi étonnants que le vôtre. Chez nous il existe des gouverneurs siégeant à la surface de la totalité de la planète.
Pourquoi pas chez vous ?
Vous êtes vous demandé les raisons de cette mosaïque ? De ces frontières ?
A quoi servent-elles vraiment ?
Chaque pays de votre monde comprend un gouvernement pour administrer des contrées de tailles très diverses.
A quoi servent ces gouvernements, si ce n’est à s’enrichir aux dépens de leurs citoyens en monnayant très cher leur permission d’exercer sur vous leur emprise ? Ce que vous appelez « élections ».
Pourquoi les pays de votre sphère ne s’irriguent-ils pas mutuellement ?
Pourquoi ne redonnez vous pas ce qui ne sert plus à d’autres pays, qui en ont tant besoin ?
Pourquoi autant de disparités économiques ?
La valeur boursière de la monnaie d’un pays doit-elle déterminer le bonheur ou la pauvreté de tous ses habitants ?
Nous vous disons que ces règles sont périmées.
De telles règles n’ont jamais eu pour but le bonheur de l’homme, mais son asservissement.
Est-il normal que des tribus millénaires qui occupent encore fidèlement la terre de leurs ancêtres doivent à présent monnayer leur droit de rester à la même place ?
De simplement exister comme ils l’ont toujours fait ?
Demandez-vous si cela est juste ?
Vous payez pour boire, payez-vous pour respirer, pour vous baigner dans une rivière ? Bien sûr que non.
Pourquoi monnayer l’eau de la Terre qui s’écoule librement ?
Nous voyons bien que de nombreux êtres de la Terre s’insurgent contre des pratiques aussi absurdes et donnent sans compter leur temps, leur énergie pour redresser la barre, d’autres parlent de ce qui importe vraiment et cela est bien.
Tout cela, tout se qui se produit en ce moment même est remarquable et nous vous en félicitons. Nous sommes heureux de l’éclosion de la Vérité.
Chers Amis de la Terre vous êtes brillants, notre amour vous est acquis,
Notre amour va sur vous, tout droit au fond de vos cœurs.
Soyez illuminés.
Je suis Dorian et je me tiens au dessus de vous.
Appelez si vous peinez, et nous vous entendrons, nous allègerons votre fardeau, nous vous aiderons de toutes les manières possibles.
La Paix est en vous à présent, »
Dorian et les Guides de Lumière,
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
qu’il ne soit pas coupé
qu’il n’y ait aucune modification de contenu
que vous fassiez référence à notre blog http://une-petite-lumiere-pour-chacun.over-blog.com