Guérir vos blessures anciennes !
Chers Êtres, nous vous saluons et sommes heureux des partages que nous pouvons faire avec vous. Nous sommes heureux de ces rencontres de plus plus fréquentes et de plus plus présentes.
Nous mettons tant de Joie dans cette énergie, tant de Paix et tant d’Amour, de manière à ce que cela transparaisse dans vos vies, pour que vous ne vous sentiez plus seul ! Plus jamais seul…
Nous sommes là, là pour vous dire nous vous aimons !
Ces paroles sont parfaitement mesurées et destinées à vous faire comprendre que la clé est là, l’Amour. Et lorsque nous vous disons, nous vous aimons, voyez cela comme une invitation à Vous Aimer !
Nous vous aimons, nous sommes pareils ! Vous nous aimez, nous sommes pareils ! Vous vous aimez….
De nombreuses blessures, liées à vous même, ou à vos ancêtres, ont provoqué en vous des contractions d’énergies, par manque d’Amour. Et si vous pouviez voir cela vous observeriez en vos êtres des trous béants par endroits, qui correspondent à de grands vides, de grandes souffrances béantes. En ressortent alors des émotions négatives, répétées. Répétées encore et encore parce qu’activées par des situations qui reviennent en boucle. Ces situations mettant en évidence le manque d’amour qui existe chez vous.
Aimez vous ! Aimez le soit disant mauvais, l’intolérant, le réfractaire, le peureux, le coléreux, le triste, le dépressif, le juge… qui surgit parfois au coin d’une situation en vous submergeant totalement. Aimez le comme vous aimez celui qui est beau, noble, juste, grand. Aimez ces deux êtres que vous êtes en réalité. Cessez de jouer au chat et la souris ! Vous êtes les deux à la fois. Et c’est une expérience que vous avez choisi.
Aimez et observez. Observez ce qui vient à vous. Ces situations, ces rencontres, apportées à votre conscience qui sont là pour mettre en évidence une résonance, un écho qui se produit. Le hasard n’existe pas, et vous avez bien décider avant de venir, d’expérimenter certaines difficultés afin de les transmuter et de passer à une étape supérieure. Sachez que ce qui n’est pas transmuté par le cœur revient, encore et encore, parfois sous des formes différentes, parfois dans des rencontres différentes, mais qu’en fait c’est toujours la même problématique qui se présente. Sachez que ce qui n’est pas transmuté se perpétue, de générations en générations, comme les gènes !
Vous choisissez vos familles, parce que vous même êtes porteurs de la même problématique qu’elle véhicule. Que vous aussi vous devez la résoudre, la transcender par l’Amour. Lorsque rien n’est fait, c’est ainsi que vous observez par exemple des familles de suicidés, des familles d’accidentés, des familles de malades du cœur…. Etc, etc… Et que les choses ont l’air de s’enchainer sans que rien ni personne ne semble pouvoir y faire quelque chose !
Vous pouvez faire quelque chose ! Pour pouvez décider de vivre autre chose !
Aimez et observez, pour allez à la cause de la cause, la blessure d’origine qui fait que le cycle s’enclenche, sans que personne n’y fasse rien.
Nous laissons la parole à ce canal, pour qu’elle raconte, se libère et vous libère à votre tour. Nous vous aimons infiniment….
…. Une histoire comme la votre…
Ma fille ainée vit actuellement une grande tension en rapport avec son orientation scolaire. Elle est en seconde et son père a décidé pour elle, qu’elle devait suivre la filière S et qu’elle n’avait pas son mot à dire. Sa tension est très importante parce qu’elle n’aime ni les maths, ni la physique, ni même l’école tout court, que ces résultats sont mauvais et qu’elle n’arrive pas à le faire comprendre à son père. Et que même si elle se sait soutenu par moi, elle reste enlisée dans cette problématique qui lui provoque de grandes souffrances…
Des souffrances qui me ramènent aux miennes !
Ce matin avant son entrée au lycée nous avons eu une grande conversation avec ma fille.
Je vois parfaitement le cheminement qui l’a conduit jusqu’ici, la problématique qui s’en dégage. J’ai moi même été confrontée à un père qui ne tolérait aucune opposition et qui m’a forcé dès mon plus jeune age à travailler pour lui et ensuite à faire des études qui ne plaisaient pas. J’étais alors incapable de m’opposer. Et d’ailleurs les rares fois ou j’ai tenté de le faire il s’est mis dans des rages, que je ne lui connaissait pas. Que j’ai eu peur. Mon père, le père de ma fille sont de ces personnes qui vous démontrent brillamment que la lune est carrée et lorsque vous terminez la conversation avec eux, vous en arrivez à douter qu’elle est ronde !
Depuis de nombreuses années j’ai décortiqué mon chemin de pensées, et j’ai réalisé, la souffrance de mon père qui se cachait derrière son attitude, j’ai réalisé cette même souffrance en mes ex compagnons qui ne faisaient que me ramener à cette même problématique. J’ai réalisé que moi même venue sur la terre avec un manque de confiance en moi énorme, et un manque d’amour, destinés à être dépassé, j’attirais ce genre de bourreau, tout comme ma propre mère évidemment.
Parallèlement à ça, ayant des contacts subtils avec mes ancêtres j’ai depuis longtemps conscientisé que la lignées des femmes du côté de ma mère et de mon père étaient également porteuses de cette problématique.
Et puis en faisant un travail récent sur les constellations familiales et l’EFT, me sont ensuite revenues, les jours qui ont suivis, des flash de vies antérieurs, d’esclavage, de torture, de décapitation et d’enfermement… J’ai parfaitement réalisé que je n’avais fait que reproduire des schémas d’existence, dans cette vie ci, avec les même personnes en plus… Et que j’avais choisi cette famille pour les dépasser, les guérir dans l’Amour.
Je laisse ma fille au lycée et je reprends ma route. Remplie de ces impressions. Et là, alors que je roule, me revient en mémoire une image de moi petite fille (Une image qui d’ailleurs vient régulièrement frapper à ma porte depuis toujours, sans que je n’en comprenne le sens. Comme quoi les choses viennent toujours à point nommé et les signes sont toujours là).
Je suis très jeune et je me trouve dans le couloir de l’entrée. C’est le soir et ma mère et moi nous sommes seules. Ma mère se met alors à pleurer à chaudes larmes. Et moi je lui demande :
Pourquoi tu pleures maman ? Elle ne me répond pas. Je réitère ma demande, mais elle ne me répond toujours pas ! Alors je fonds en larmes à mon tour, totalement noyée par le chagrin. Sans même savoir pourquoi.
Par la suite nous avons déménagé et ma mère qui jusque là s’occupait de ses 3 enfants, s’est retrouvée du jour au lendemain à travailler dans un pressing, que mon père avait décidé d’acheter sans son accord. Le magasin en question ouvrait à 7 h 30 et fermait à 20 h du lundi au samedi inclus. J’avais 8 ans. Ma mère s’est mise à repasser toute la journée, sans pouvoir évidemment s’occuper de nous comme avant, tandis que mon père faisait les comptes et lisait le journal… Sans m’en rendre compte j’ai pris sa place, je faisais la cuisine, les courses, je m’occupais de mon frère et ma sœur plus jeunes… Comme pour m’échapper de cela, j’étais très tête en l’air…
Ma mère elle ne cessait de pleurer. Et je vois encore mon père lui demander : Mais pourquoi tu pleures ?
Il n’obtenait jamais de réponse….
Je prends conscience aujourd’hui, que la première fois où j’ai vu ma mère pleurer, j’ai fait deux choses.
J’ai choisi d’une part de l’aider à porter son propre fardeau, de la soulager à ma façon. C’est pour cette raison que j’ai beaucoup travaillé dans les magasins de mes parents, parce que bien sur il n’y en a pas eu qu’un. Mon père me disait : Tu descends ! Ce qui voulait dire, tu viens travailler ! Et moi j’étais incapable de m’opposer et de dire non.
Et j’ai choisi d’autre part ce jour là de jurer fidélité à ma lignée familiale de femme ! De répondre oui à la croyance de ma mère, et de mes grands mères, à savoir que les hommes sont des profiteurs qui abusent des femmes et se servent d’elles en tirant la couverture à eux et en se valorisant à leur dépends !
Je prends conscience aujourd’hui de cette allégeance que j’ai faite.
Alors voilà, parce que je sais la puissance des mots, je les utilise aujourd’hui à la fois comme l’épée qui tranche et le baume qui guérit afin de me libérer de cette croyance et de ce fardeau que je porte et que j’ai transmis. Ainsi j’en libère d’autres en même temps.
Maman,
Chère Maman, c’est avec des larmes de joie que je t’écris, des larmes libératrices de pardon et d’Amour.
Chère Maman, je t’aime tant, que j’ai été capable de naitre le même jour que toi afin de porter, pour toi…
Je te rends maintenant cette charge qui n’est pas la mienne, et qui t’appartient. Je te pardonnes, parce que je sais que tu ne savais pas, tu étais toi même une victime. Tu as du subir, endurer, te taire, te taire tant, que sans cesse ta gorge te démangeait de dire. J’ai fait pareil Maman, je me suis tu, et ma gorge m’a souvent gratté de tant d’abdication, tout comme toi, jusqu’à l’intolérable, jusqu’à la souffrance ultime. Tu m’as laissé croire que la vie n’était que labeur, qu’il fallait trimer sang et eau pour gagner sa maigre pitance. J’ai porté tes fardeaux pour qu’ils te soient moins lourds, alors que c’était moi la petite et toi la grande… Les rôles étaient inversés ! Mais, tu ne pouvais me soutenir, puisque tu ne pouvais pas te soutenir toi même. Je te pardonnes et je me pardonnes également de ne m’être pas senti à la hauteur devant une telle charge, qui en fait n’était pas la mienne. Je te rends donc ainsi tes croyances, qui t’ont laissées penser que la vie était dure et ingrate. Je me libère enfin Maman et j’accueille à bras ouvert les cadeaux de cette vie. Je leur dis Oui !
Chère Maman, je t’ai longtemps entendu dire que l’homme était égoïste et qu’il ne pensait qu’à lui ! Ce qui dans ta vie, la vie de mes grands mères, la mienne jusqu’à présent, s’est révélé totalement exact ! Même si je n’ai jamais tenu moi même ces propos, même si j’ai toujours pensé le contraire, je les ai pourtant validé comme acquis et vrai, à travers toi, dans mon inconscience.
Et j’ai reproduit. Aujourd’hui avec tout l’Amour immense que j’ai pour toi, je te rends cette croyance, qui ne m’appartient pas et que j’ai pourtant porté jusque là, tel un fardeau elle aussi.
Je suis libre Maman, libre de mes choix, et de mes croyances, libres de rencontrer des hommes et des femmes aimants et généreux ! Des Êtres merveilleux qui m’accompagnent sur ma route. Je te pardonne d’avoir installé cette pensée en moi et je me pardonne également de m’être souvent rabaissée plus bas que terre, lorsque j’ai attiré autant de dénigrements, de mesquineries, de perversions mentales, de la part de certains. Je suis enfin libre ! Libre d’attirer à moi le meilleur ! Libre d’aimer être aimer et d’aimer en confiance.
Voilà Maman…
Je t’aime infiniment.
À travers toi, ton expérience et la mienne, j’ai pu mettre à jour, en lumière, certaines zones d’ombres.
En conscience, je les observe ainsi avec Amour, parce que grâce à elles, aux travers d’elles j’ai beaucoup appris et beaucoup grandi ! Ces charges, ces croyances ne me servent plus, je m’en libère, je les laisse partir dans le flux cosmique et je demande à l’Amour de les transmuter…
Je t’Aime Maman !
Voilà, ce sont les mots de l’instant qui vont partir vibrer là où il faut, à la juste note, afin de guérir ce qui doit être guéri.
Je dois ajouter, que dans ma vie, j’ai fait une très longue traversée du désert, où j’ai rencontré quelques personnes qui m’ont poussées extrêmement loin dans mes retranchements, mon père en premier et ensuite mes compagnons. A certaines périodes très difficiles, il m’est arrivé de penser que je ne pourrais jamais me remettre des chocs que je subissais ! Pendant 10 ans j’ai côtoyé Marie Jeanne et son compagnon Canabis Can, tellement j’étais submergée. J’étais dépendante, physiquement, psychologiquement, je ne me sentais pas capable, capable de me séparer de mes enchainements, pour Vivre ma Vie.
Récemment j’ai pu faire plein de reliances, comprendre pourquoi par exemple, j’ai tant aimé l’Afrique. Pourquoi j’ai écrit il y a longtemps une chanson sur Gorée, pourquoi l’esclavage me parlait tant. Pourquoi la décapitation me faisait si peur… Etc, etc….
Les choses reviennent à nous comme des boomerang, sous formes de signes, de paroles, de récurrences, destinés à être mis dans la lumière pour être pardonner, aimer, transmuter. Il nous faut comprendre que tout ceci est la face d’une même pièce. Le bourreau ne peut en effet exister que parce que la victime est là !
Malgré toutes mes errances, il y avait toujours cette petite voix de l’intérieur, qui me rappelait qui j’étais, et qui me soutenait. Je savais au plus profond que je ne n’était pas seule, mais surtout je savais que j’avais choisi d’expérimenter cela ! Les guides me l’avaient dit.
Aujourd’hui, j’en ai la preuve. Je rencontre des personnes qui vivent de grands désarrois et c’est un peu comme ci la résolution de mes propres désarrois, pouvait les éclairer. Nous sommes tous un ! L’autre et moi, c’est la même chose.
Même si ma traversée m’a semblé difficile, je ne peux que remercier, parce que grâce à elle j’ai fini par m’accepter, accepter mes zones d’ombres, et à voir la lumière qui se cachait au delà !
Grâce à cela je suis capable de voir, la souffrance de ces êtres qui m’ont fait mal et le petit enfant blessés en eux. Ils sont eux même des victimes, des victimes de victimes, qui n’ont pas encore réussi à mettre la lumière sur leurs blessures béantes !
Il n’existe qu’un choix, exprimable de maintes manières : L’Amour !
C’est cette chose formidable que les Anges, les Guides veulent nous faire passer. Aimons pour dépasser, pour grandir et nous libérer…
Aimons….
Message des Anges du 6 Décembre 2016 par Nathalie Cariot
Source : ecristavie.fr