La guérison
Le potentiel de guérison est inhérent à chaque personne. Mais si on cherche la guérison, c’est qu’un dysfonctionnement interne a préalablement causé la maladie.
Chaque maladie est liée à un changement de vibration.
Ainsi, si on n’est pas en harmonie avec notre être, impossible d’être en harmonie avec nos vibrations profondes, celles qui nous structurent.
La pensée est vibration puisqu’elle est une onde.
Reste à savoir sur quelles vibrations nous aimerions nous construire. Il va sans dire que des pensées de stress, d’envie, de haine ou de destruction ne peuvent nous construire harmonieusement, contrairement aux pensées de paix, de joie, de félicité ou d’amour qui nous structurent sur une base de vibrations saines.
Si nous en sommes à un point où le corps a modifié ses données de base pour se construire sur d’autres vibrations, celles du stress et de la contrariété, par exemple, nous nous formatons au fur et à mesure du temps passé sur ce modèle cellulaire de stress, et les maladies associées au stress et aux contrariétés vont alors émerger. Les cellules vont paniquer et se construire dans le désordre.
Une bonne partie des maladies sont auto-immunes, c’est-à-dire que le corps change de « programmation» et s’attaque lui-même, que le système immunitaire se retourne contre lui. Ce qui revient à nous auto-agresser, car notre système immunitaire nous perçoit comme une menace !
Le cancer est un changement de programmation cellulaire qui s’installe au fur et à mesure que nous nous mettons dans un schéma vibratoire inadéquat. Passé un certain seuil de tolérance, la cellule bascule vers un autre fonctionnement. Et à l’instar de la troisième dimension, qui relie chaque particule à son environnement, le basculement d’une seule cellule permet aux cellules environnantes de passer dans le même état quantique que celle-ci.
Ainsi, la prolifération de cellules cancéreuses augmente considérablement. «La cancérisation des cellules chez les organismes supérieurs, jusqu’ici considérée comme le résultat de mutations dues au hasard qui s’additionnent au fil du temps, en raison de diverses agressions chimiques, et qui peuvent avoir pour résultat de déclencher une prolifération incontrôlée, échappe aux contraintes exercées par l’organisme.» (Thèse de Lucien Israël)
J’ai souligné le mot hasard, car celui-ci n’a aucune place dans la mutation des cellules saines en cellules cancéreuses.
Nous seuls changeons le formatage des données cellulaires. La première étape consiste donc à prendre conscience que nous seuls nous formatons sur ce modèle, et non un élément extérieur comme le travail, la famille, les contraintes quotidiennes ou toute autre source. La cause première est notre fonctionnement et notre mode de pensée; la conséquence en est la maladie.
Extrait de Luminance, Principe d’intégration de la conscience à la matière, Les fondements quantiques, de Olivia Boa
Trouvé sur http://www.vivresanslimites.org/