La survie et le Nouveau Monde

survie et nouveau monde

Bonjour à vous tous,

Je me sens de plus en plus interpellé par les écarts grandissants qui existent entre les mieux nantis de notre planète et les plus pauvres, et j’avais envie de vous partager ma vision spirituelle de la situation.

D’entrée de jeu, je tiens à préciser que je n’entretiens aucun jugement personnel en lien avec cette « injustice » apparente si souvent décriée par les gens en soif d’équité. « Si les plus riches donnaient leur argent, tous les problèmes seraient réglés ». Rien n’est moins sûr, car si nous observons attentivement la situation, nous comprendrons que les plus riches et les plus pauvres de notre monde représentent deux facettes d’une même réalité, deux côtés d’une médaille dualiste qu’il nous faut mieux comprendre pour pouvoir la transformer.

La dualité
C’est en devenant maître de la dualité que nous devenons vraiment libres sur Terre. Cet énoncé représente pour moi le véritable sens de la maîtrise. Au niveau universel, nous sommes déjà des maîtres, car notre essence est pure et parfaite. Le but de l’évolution est donc d’amener sur Terre la totalité de ce que nous sommes. Et sur Terre, la cohabitation avec la dualité n’est pas aussi simple, car les lourdeurs ressenties nous amènent à vouloir nous séparer de ce qui nous perturbe, alors que tout en nous recherche l’union.

Pour être maîtres dans la dualité, nous sommes invités à être totalement en paix avec toutes les expressions que nous présente la vie, de la souffrance à la joie extrême, pour ensuite choisir la réalité qui nous attire profondément, celle qui nous fait le plus vibrer. Nous ne rejetons rien, nous choisissons l’expression qui est la plus en harmonie avec qui nous sommes.

Mais sans nous en rendre compte, au lieu de réellement choisir ce que nous voulons, nous réagissons plus souvent à ce que nous ne voulons plus dans notre vie. Ce faisant, nous ne comprenons pas que c’est précisément parce que ne sommes pas en paix avec cet élément que celui-ci est attiré à nous par notre inconscient. C’est une situation que nous n’avons pas pacifié en nous et qui se représente extérieurement, car cela « cherche notre lumière » pour ainsi dire. C’est la manifestation de ce que nous nommons la « loi du miroir ». Ce qui nous perturbe à l’extérieur représentera toujours un aspect de nous avec lequel nous ne sommes pas en paix. Si nous cherchons à le fuir, nous ne faisons que l’amplifier.

Les victimes
Je l’ai souvent mentionné dans les ateliers que j’anime : « les victimes d’aujourd’hui sont les bourreaux d’hier ». Et c’est précisément parce que la dimension « bourreau » en nous n’est pas pacifiée que nous les attirons à l’extérieur. Collectivement, nous avons appris à condamner les « méchants » et à prendre en pitié les « victimes », ce qui ne fait qu’alimenter les écarts en polarisant les êtres. Nous entretenons ainsi une problématique qui cherche à revenir au centre, sur la « voie du milieu » comme disent les bouddhistes.

Au cours de nos nombreuses incarnations sur Terre, nous avons tout expérimenté. La plupart du temps, nous avons été des êtres sensibles recherchant la paix et l’harmonie autour de nous. Nous avons même incarné des modèles socialement inspirants à l’image de Mère Thérésa. Mais nous avons aussi été voleur, volé, violeur, violé, tueur, tué, etc. Les modèles inspirants « nous suivent » dans la lumière quand nous quittons la Terre, car nous les accueillons facilement en nous. Mais les expériences traumatisantes, ou celles qui éveillent de grands jugements de soi, sont plus difficiles à accepter, car la honte et le déni les accompagnent le plus souvent [lire « Le karma et les mémoires cellulaires » pour bien comprendre cela].

Définition de l’amour
Notre définition de l’amour et de la lumière évolue au fur et à mesure que nous nous transformons, que nous comprenons qui nous sommes et que nous pacifions nos expériences. Nous nous ouvrons alors à des expressions toujours plus lumineuses de qui nous-mêmes, mais sans jamais rejeter les acquis, car ils nous servent à développer une plus grande sensibilité, une compassion véritable face à l’autre et à ses expériences, car nous avons accueilli et pacifié les nôtres.

Cette façon de définir l’amour ne veut pas dire qu’il faille cautionner la violence et les abus, au contraire. « Tendre l’autre joue » est l’une des paraboles du Maître Jésus qui a été la moins bien comprise. Cette image n’indique pas qu’il faille accepter l’inacceptable et avancer passivement vers l’abandon de sa liberté. Respecter l’autre, ce n’est pas de lui permettre de nous manquer de respect simplement parce qu’il le souhaite.

Paradoxalement, apprendre à fixer nos limites est la base pour comprendre et intégrer notre dimension illimitée. Les parents comprennent bien ce concept, car ils savent intuitivement qu’il faut offrir des balises à leurs enfants pour leur apprendre la confiance en eux. Si tout leur est permis dès le départ, ils n’apprendront pas à se respecter ni à respecter les autres autour. Ils n’auront plus de repères et se perdront en chemin.

L’envahissement
Dans un même ordre d’idée, si un être choisi d’envahir son prochain, il le fera parce qu’il se sentira séparé de l’autre. Autrement, il ne lui viendrait jamais à l’esprit de faire à cet autre ce qu’il ne voudrait pas qu’on lui fasse.

Toutes les guerres partent d’une sensation de séparation. Et la séparation, c’est l’absence d’union. En d’autres termes, un être qui se sent séparé est un être qui a oublié sa nature amoureuse universelle. Et il agit alors envers l’autre à partir de cette sensation d’oubli.

De l’extérieur, il devient fondamental de ne pas juger cela, car c’est l’expression d’une sensation de séparation que nous côtoyons tous intérieurement, chacun à notre manière, chacun à notre échelle.

L’amour se définit par une sensation de plus en plus vaste d’union à soi et à tout ce qui nous entoure. L’amour et l’union sont des synonymes, ils expriment la même réalité. De son côté, la séparation est l’expression de l’illusion de la dualité qui suggère que les choses s’opposent, alors qu’en réalité, elles se complètent. Le bien et le mal, la paix et la guerre, la richesse et la pauvreté sont des réalités qui cohabitent, parce que les humains entretiennent en eux l’illusion qu’ils sont séparés les uns les autres. Dès qu’ils s’ouvrent à l’amour, à cette sensation d’union, ils comprennent qu’ils ne sont jamais séparés et souhaiteront naturellement créer le bien autour d’eux.

En découvrant que nous faisons tous partie d’une seule et même famille, la sensation d’union qui s’en dégage devient le moteur de tous les changements sociaux que nous appelons individuellement et collectivement. Les humains qui découvrent l’amour véritable en eux auront à cœur le bien-être de l’ensemble. Il leur deviendra alors naturel de chercher à créer un système social qui honorera la dignité et la liberté individuelle de chacun, tout en s’assurant d’une abondance partagée entre tous.

Les grandes richesses
Lors d’une méditation, les Guides m’ont montré l’état d’esprit de certains êtres qui possèdent les grandes richesses de notre monde. Ils me montraient qu’ils exprimaient le même malaise énergétique que les êtres qui sont dans une pauvreté extrême. Je voyais la prison dans laquelle ils se trouvaient, car ils ont peur que les gens autour d’eux veuillent piller leur abondance. Plusieurs s’enferment sur eux-mêmes et s’isolent pour se protéger. Ils se sentent ainsi séparés des autres et vivent beaucoup de solitude.

De son côté, un être qui expérimente la survie au quotidien se sent aussi séparé des autres. Il est préoccupé par ses besoins primaires et son « cerveau reptilien » est activé. Il n’aspire pas à se réaliser, il cherche plutôt à se nourrir pour survivre. Dans cet état d’esprit, il se sent totalement séparé de l’autre et ne peut s’en préoccuper, car la peur occupe tout son espace intérieur.

J’aimerais souligner ici qu’en Occident, même si la survie du corps physique n’est souvent pas en jeu, les mêmes préoccupations peuvent occuper l’esprit lorsqu’un être se questionne à savoir s’il pourra payer son loyer à la fin du mois ou conserver ses biens matériels par exemple. Il ne s’agit pas ici de comparer les niveaux de survie, mais de comprendre ce que cet état d’être installe comme vibration chez une personne.

La survie
Lorsque la survie est ressentie chez un être, la peur qui s’éveille réduit son rythme vibratoire et l’amène à se sentir coupé de l’extérieur. Ses actions sont alors initiées à partir de cette sensation de séparation, et il ne se souciera plus de l’autre qu’il percevra comme un obstacle à sa survie, qui est sa priorité. Ses alliances seront stratégiques et ses actions seront orientées vers des buts précis, afin d’obtenir des bénéfices personnels. Il ne cherchera pas le bien-être de l’autre, il sera trop occupé à répondre à ses besoins primaires.

Nous verrons alors émerger dans certains pays des milices armées qui agiront selon les principes de la « loi du plus fort », car certains êtres, mus par la peur de mourir, choisiront d’imposer la force. Mais qu’ils soient victimes ou bourreaux, il faut comprendre qu’ils font tous partie de la même expression du manque et de la survie qui sont initiés par la sensation de séparation ressentie.

Plus un être est en survie, plus son état d’esprit le sépare d’un « univers d’abondance » qui pourrait le soutenir. Il percevra plutôt les autres comme des obstacles potentiels à son équilibre et il voudra s’en protéger. C’est pour cela que la violence et la pauvreté se côtoient souvent dans les pays pauvres ou dans les quartiers défavorisés de certaines villes occidentales. Elles sont l’expression de la séparation qui, rappelons-le, représente « l’absence d’union », tout comme l’ombre est l’absence de lumière. Quand la lumière revient, l’ombre y est aussitôt absorbée.

Entretenir la problématique

Cela peut paraître simpliste comme présentation, mais si l’on porte attentivement attention à cela, l’on comprendra qu’en jugeant et en condamnant la violence, les inégalités ou toutes les formes d’expression de la séparation, nous entretenons la problématique. En jugeant ces réalités, nous nous coupons d’elles et ce faisant, nous n’arrivons pas à les éclairer de notre amour. Nous ne chercherons pas non plus à les cautionner dans une forme d’acceptation passive. Mais quand nous comprenons pourquoi ces réalités existent, nous rechercherons les solutions, au lieu de s’attarder à trouver les coupables et à nourrir les vengeances et les ressentiments.

Peu importe ce que l’on en pense, les êtres qui contrôlent les richesses de notre monde ne sont pas responsables du déséquilibre de l’abondance sur Terre. Ils sont tout aussi en déséquilibre que ceux qu’ils choisissent de contrôler. En réalité, ils nous reflètent notre propre sensation de séparation ressentie. Évidemment, nous sommes invités à leur retirer ce pouvoir, car il revient à la collectivité humaine de choisir sa destinée, mais si nous les jugeons de leurs actes, nous ne comprenons pas le rôle qu’ils ont joué dans l’échiquier de l’ancien monde.

Nous pouvons bien juger le squatteur qui occupe une maison abandonnée, mais il habite ce lieu parce que personne ne le revendique et qu’il est disponible. Quand le propriétaire réclame de nouveau son espace de vie, « l’invité » est alors reconduit vers un lieu plus en harmonie avec ses vibrations afin d’être rééduqué, à son rythme. Si nous nous attardons à le juger, nous ne faisons qu’alourdir la situation, alors qu’elle est l’expression d’une forme de désengagement individuel et collectif.

L’abus
Si un enfant de 8 ans demande les clés du véhicule pour aller se promener, aucun adulte attentionné ne les lui donnera. Le fait que l’enfant exprime son désir n’est pas suffisant pour justifier l’acceptation de sa demande. Permettre à cet enfant de conduire simplement parce qu’il le souhaite est tout aussi insensé que de permettre à un être de nous manquer de respect parce que c’est sa façon à lui de se défouler, d’exprimer son malaise et son mécontentement.

Mais il y a une grande différence entre tolérer les abus et les juger. L’équilibre se situe quelque part au centre, dans une approche qui suggère le respect, sans les condamnations habituelles.

Il n’est pas juste de juger l’enfant qui exprime son désir de conduire, tout comme il n’est pas juste de répondre à sa demande, car nous savons qu’il n’a pas la maturité requise pour le faire. Si nous le jugeons, nous ne ferons que l’amener à se refermer sur lui-même, au lieu de l’aider à découvrir ses limites et les façons de les dépasser.

L’envie d’abuser est l’expression d’une peur de l’autre, un réflexe qui prend sa source dans l’état de survie qui entretient la sensation de séparation. « Dominer avant d’être dominé » pourrait résumer cette vision. Si nous acceptons l’abus sans rien dire, nous permettons à l’autre de nous manquer de respect, et nécessairement, de se manquer de respect à lui-même, puisque nous agissons comme un reflet pour cet être. À l’inverse, si nous fixons clairement nos limites, nous l’aidons à comprendre l’importance du respect des autres. Nous l’aidons à se définir en lui présentant un modèle d’amour et de respect de soi.

La cinquième dimension
Dans la cinquième dimension, il n’est jamais nécessaire de fixer les limites, car tous les êtres vibrent à la fréquence de l’union. Ils savent qu’ils font tous partie d’une même famille et que personne n’est séparé d’eux. Il ne leur viendrait donc jamais à l’esprit de faire à l’autre ce qu’ils ne voudraient pas qu’on leur fasse. C’est pour cela que dans ces dimensions, il n’existe aucune loi répressive, aucune « police » de contrôle, car l’amour et la sensation d’union agissent comme moules d’harmonie sociale. Dans ces mondes, les gouvernements se présentent davantage comme des structures de coordination que comme des agents de contrôle. Ils facilitent la vie en commun, sans jamais restreindre les libertés individuelles.

Maintenant que cette précision est apportée, il m’apparaît aussi important de rappeler que nous vivons encore sur une planète de dualité où la séparation et l’union se côtoient. Il est donc absolument fondamental d’encadrer les actions de ceux et celles qui entretiennent toujours la séparation en eux. En agissant comme des grands frères à leur égard, notre mandat est de les guider progressivement vers des expressions de plus en plus lumineuses de qui ils sont, mais sans jamais les juger. Car ils font ce qu’ils peuvent, avec ce qu’ils comprennent de la vie.

Plus les êtres s’ouvrent à l’amour, plus ils se sentent unis aux autres et plus ils ont envie de partager. C’est alors qu’ils auront naturellement envie d’équité. Si nous jugeons les uns et prenons en pitié les autres, nous ne faisons qu’entretenir la problématique et ne contribuons pas à créer « un rapprochement ».

La même réalité
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, j’ai compris que la pauvreté et la richesse extrêmes sont deux facettes d’une même réalité. Chacun de leur côté, les êtres se sentent séparés des autres et s’isolent du monde qui les entoure. Ils vivent un déséquilibre intérieur qui est l’expression d’une sensation de séparation intensément entretenue en eux. Il m’apparaît ainsi simpliste de croire que la solution au manque d’équité est de demander aux riches de donner aux pauvres, car cette vision ne tient pas compte de la peur entretenue et de l’isolement ressenti.

En nous souvenant que la séparation est l’absence d’union et que l’union est synonyme d’amour, nous choisissons de nous unir amoureusement à toutes les expressions que nous présente la dualité, sans jamais les condamner. Nous ne les cautionnons pas non plus, car nous comprenons qu’elles sont exprimées par des êtres qui ont oublié qui ils sont, comme nous l’avons tous fait, à un moment ou à un autre. Si nous jugeons les gestes qu’ils posent en état « d’amnésiques d’eux-mêmes », nous participons à alourdir leur état, au lieu de les aider à s’alléger, pour progressivement se souvenir de qui ils sont.

Lorsque tous les habitants de la Terre se souviendront de leur nature universelle, ils se souviendront qu’ils n’ont jamais quitté l’Univers, qu’ils ne se sont jamais séparés les uns les autres. C’est l’illusion de la dualité qui les a amenés à le croire, mais cela aussi se transformera.

Le Nouveau Monde
En tant que Travailleur de Lumière, notre rôle est de maintenir en nous la vision du Nouveau Monde, tout en ouvrant notre cœur à l’ancien, parce que nous comprenons qu’il est l’expression de la séparation. Nous n’avons pas à la condamner, nous devons présenter de nouvelles options, de nouveaux modèles pour que le « vivre ensemble » puisse être plus respectueux de chaque individu. Et c’est précisément pour cela que nous nous sommes incarnés, parce que nous portons en nous les germes de ce Nouveau Monde. Nous en sommes les initiateurs, ceux qui « se souviennent », afin de permettre à ceux qui ont oublié de se rappeler, à leur rythme, à travers les modèles que nous leur présentons.

Dans l’ancien monde, plus l’état de survie est entretenu, plus il devient facile de contrôler les humains, car ils se déconnectent d’eux-mêmes et deviennent alors insensibles aux autres. Cela élimine tout mouvement d’entraide. En ce sens, les bases du Nouveau Monde impliquent nécessairement qu’il y ait une plus juste répartition des ressources planétaires, afin de redonner à chacun sa dignité et sa liberté de choisir. Cette étape est absolument incontournable pour que notre planète retrouve sa splendeur originelle.

Une abondance spirituelle
Au niveau spirituel, cette abondance retrouvée installe une réelle liberté qui permet à chaque individu de se questionner profondément sur qui il est, sur sa nature véritable. Il sera alors amené à découvrir ses talents profonds, ses qualités d’être, sa créativité illimitée. Il aura la liberté de vénérer le Dieu de son choix, de croire en ce qui lui apparaît le plus juste. Peu importe que cette manifestation de l’amour soit intérieure ou extérieure à lui, qu’il choisisse la voie scientifique ou énergétique, qu’il croie à l’invisible ou uniquement à ce qui est « prouvé », tôt ou tard, il comprendra que nous sommes tous unis par une seule et même énergie qui englobe tout. Cette énergie compose la matière et l’antimatière, c’est ce que certains nomment Dieu, l’Univers, l’Amour, etc.

Plus nous nous ouvrons à l’amour, plus la définition de Dieu devient inclusive, car l’amour nous rappelle que nous ne sommes pas séparés les uns les autres. En fait, Dieu prend le visage de ce que nous choisissons qu’Il soit, puisqu’Il est nous dans notre forme la plus lumineuse. C’est l’union de notre Âme et de notre Esprit.

L’abondance pour tous est la clé qui ramènera l’équilibre sur Terre. Ce n’est pas qu’un vœu pieux, c’est le germe qui permettra à notre planète de s’élever dans les dimensions de l’amour et de la conscience, au firmament de notre « demeure céleste », là où nous sommes attendus. Ce n’est pas une destination bien sûr, mais un état d’être qui part de l’intérieur vers l’extérieur.

Les transformations concrètes
Notre façon de créer l’abondance devra être revue. Notre rapport au « dieu-argent » doit se transformer, car il ne sert pas la vie actuellement, il la dessert. Collectivement, nous avons besoin de nouveaux repères, de nouvelles balises pour créer les bases d’une vie sociale plus respectueuse de chaque individu. Ces solutions germent déjà dans l’esprit des créateurs inspirés que nous sommes. Personnellement, je me sens très appelé à participer à ces transformations concrètes.

Que les actions soient locales ou internationales, qu’elles soient grandioses ou exprimées dans l’intimité, il nous est demandé d’oser assumer qui nous sommes et de proposer concrètement de nouvelles façons de faire, des alternatives viables. Plus que jamais, l’inspiration nous est offerte pour stimuler nos pas, nos gestes posés, afin que nous fassions partie de la solution, au lieu de simplement observer et attendre. C’est pour cela que nous sommes venus sur Terre. La planète nous a appelés à elle, l’humanité nous a appelés. Maintenant, nous y sommes.

À travers ce message, mon souhait le plus sincère est d’éveiller en chacun l’envie de faire une différence dans la vie des gens autour. Vous aurez compris que tout ce que je partage agit aussi comme un rappel pour moi-même, afin de stimuler mes propres pas et mon engagement concret.

Je vous remercie de m’avoir accordé cet espace dans vos vies.

Sur ce je vous salue et vous souhaite une magnifique continuation d’été.

Salutations à tous

Simon Leclerc
… au service de la Grande Fraternité Humaine et Universelle

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Écrit le 6 août 2014, par Simon Leclerc (www.psychologiedelame.com)

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