La Terre est surmontée de plusieurs royaumes de paix et d’amour

La Terre est surmontée de plusieurs royaumes de paix et d’amour

Ce message est assez particulier.

Il est venu d’une traite, suite à la parole d’une amie disparue récemment, à laquelle je tiens à rendre hommage.

Je ne me trouvais en un point éloigné d’elle lorsque le message a surgi.

Je la remercie vraiment de tout cœur pour ces propos, si profonds, si émouvants, qui éclairent notre chemin.

En te souhaitant, chère Nicole, de trouver tout le bonheur dans le monde d’après, ainsi qu’une grande libération.

« Tu as un message inattendu.

Moi aussi je suis des royaumes de l’après vie.

Tu peines à le croire, à croire à ma disparition.

C’est moi Nicole, et j’ai tenté à plusieurs reprises de te parler, sans succès.

Tu penses que prendre ce message sans être certaine de ma mort est offensant.

Tu verras qu’il en est tout autrement.

Combien je suis heureuse depuis que je suis morte !

Combien je revis, je rayonne !

Plus de douleurs, plus de nausées, ni d’étourdissements !

Ah vraiment, oui, c’est une cure de jouvence !

Je ne dis pas que c’est un état à rechercher à tout prix, mais être séparée des contingences matérielles du corps est une merveilleuse libération.

Ceux qui ont connu le stade de dépendance physique sauront de quoi je veux parler.

Car vraiment, alors, une fois que l’on est décédé, on peut faire autre chose.

Tu veux que je te conte tout en détail ?

Lorsque je suis morte, je me trouvais pâle, inerte, sur ce lit avec la souffrance pour seule compagnie.

Et puis, mon corps est devenu tout insensible, tout léger et je me suis élevée.

J’ai vu comme au ralenti, mais en même temps en accéléré, mes proches, les médecins qui discutaient, tout ce que l’on voit en de telles circonstances.

J’ai réalisé que je ne souffrais plus et que je pouvais me déplacer dans toutes les directions.

Ensuite, j’ai vu la peine de mes proches, la peine moins sincère de personnes qui étaient venues me rendre hommage au cimetière.

Je sentais leurs pensées, leurs intentions, je voyais tout, absolument tout.

Il me fallut encore un petit temps d’adaptation pour réaliser tout cela. Je suis morte voici un mois et demi, le 29 ou le 30 mars. (je n’entends pas bien les dates).

Lorsque je me suis soudain élevée, il n’y avait plus rien qui me rattachait en ce bas monde. Je me suis élevée de manière grisante, très haut dans les nuages.

Il y avait beaucoup de choses qui brillaient, qui étaient floues, mais que je sentais.

Je voulais, avant de passer dans l’autre monde, faire un tour sur Terre et savoir, savoir ce qui se tramait en eaux troubles.

Je t’ai déjà dit que je m’intéressais à l’Égypte, à tout ce que j’avais découvert d’inattendu en faisant mes études, sur le sphinx, sur les bouteilles de plongée du dieu Ptah.

J’ai réalisé qu’il y avait un lien avec la grande, la brillante Antarctique, qui fond actuellement, qui serait pour moi l’Atlantide.

J’ai donc été jeter un œil là bas.

Ils ont découvert des caves avec nombre de créatures momifiées par la glace, des créatures non humaines exactement semblables à celle là. (l’image d’une momie au crâne hypertrophié apparait, proche des crânes de Paracas)

Oui, ils en ont trouvé des milliers et des milliers et donc pas question d’organiser des fouilles.

Oui, et comme l’Antarctique est un monde gelé, inviolable, cela est très pratique.

Je m’en suis retournée, émerveillée et en même temps attristée de ce que j’avais pu découvrir et qui mettrait du temps encore avant d’être médiatisé…

Ensuite, eh bien ensuite, j’ai été en visite à quelques amis, quelques proches aimés, pour leur dire au revoir.

La plupart ont bien du sentir ma présence, notamment ma fille et mon fils, je leur dis que je les aime de tout mon cœur.

Oui, ils ont eu un peu peur je crois, je ne voulais pas leur faire peur.

La plupart des hommes et des femmes de ce monde savent sans savoir, il faut être indulgent.

Je m’en suis allée, je sentais quelque chose de grand, de brillant, là haut m’appeler.

Je suis montée dans le ciel, d’un coup, comme cela, il y a eu une sorte de tunnel très vaste, très brillant.

J’entendais des voix, des murmures, je sentais des présences me tirer vers le bas, vers le haut.

Mes peurs me retenaient. Cela a duré un certain temps, cela tirait en moi.

Puis j’ai été aspirée en un beau tourbillon blanc et coloré.

Je me suis retrouvée en un étrange jardin suspendu hors du temps. Il n’y avait pas de vent, mais de la lumière, une très vive lumière au bout d’une allée.

Après tout est allé très vite, la lumière m’a regardé et j’ai regardé vers elle, j’ai senti que quelque chose s’échappait de moi.

C’était comme si cette lumière avait pu être une personne, cela m’a gênée d’être ainsi mise à nu par une entité étrangère.

Mais j’ai ensuite réalisé qu’il s’agissait d’une bonne présence, faite pour rassurer. Je me suis avancée lentement.

D’un seul coup, ma vie a ressurgi en moi, tous les moments que j’avais traversés, je me suis dit que j’avais fait de mon mieux avec ce que j’avais.

J’aurai peut–être pu faire un petit peu mieux certaines fois, mais à la fin, lorsque la maladie nous affaiblit, nous devenons une autre personne.

Puis la présence m’a accompagnée au bout de l’allée, une porte s’est ouverte, je me suis retrouvée marchant sur une balustrade blanche splendide, au bout de celle-ci, mon mari et tous mes amis m’attendaient, mes parents, mon chien, tout le monde.

J’ai couru à leur rencontre, ils m’ont accueilli avec beaucoup de larmes de joie, nous nous sommes embrassés.

Je crois que je me suis alors sentie instantanément, parfaitement guérie.

J’ai senti une force très douce et à la fois immense venir se poser en moi. Ces étreintes sont un souvenir merveilleux.

Ils m’ont emmenée vers une jolie petite maison de pierre décorée de fleurs, nous avons parlé, nous avons beaucoup ri et pleuré en même temps.

Ils m’ont avoué combien ils avaient été proches de moi et combien ils avaient fait en sorte de m’aider à chaque moment délicat de ma vie.

J’ai appris ensuite que la Terre était surmontée de plusieurs royaumes de paix et d’amour où les âmes venaient se reposer pour guérir.

C’est ce que nous avons fait, je me suis reposée, et ils ont pris soin de moi. Je devais me rendre chaque jour dans un centre, où l’on m’épurait de beaucoup de choses.

Ah mais c’était un plaisir que d’y aller !

Les personnes que je voyais étaient merveilleusement douces, pleines de simplicité.

Ils m’ont épurée de ma rancœur, d’une certaine aigreur, mêlée d’intransigeance.

De quelques superstitions aussi !!! ( Elle rit )

Ensuite, la journée, il y avait des activités, surtout du jardinage, des activités manuelles, de la poterie, et le fait de parler aussi, à d’autres personnes telles que moi.

Parler aide à guérir beaucoup de choses, d’événements traumatisants.

C’est vrai ici bas, c’est vrai aussi sur ce plan que nous occupons.

Je sens que de nombreuses questions t’habitent, que tu es émerveillée et curieuse en même temps.

Lorsqu’on s’est parlé dans la vraie vie, on continue de le faire…après, tout simplement,

Songe bien à tout ce que je t’ai déjà dit de mon vivant, la plupart des choses, de mes recherches, sont vraies, mais la plus belle des vérités, c’est que l’amour compte plus que tout.

L’humanité a besoin de beaucoup plus d’amour que de vérités archéologiques.

L’amour réunit tout, il guérit tout.

Je te protègerai, et je veillerai sur tous ceux qui en feront la demande,

Avec vous par le cœur et par l’Amour,

Nicole »

Source: http://www.unepetitelumierepourchacun.com

(Visited 34 times, 1 visits today)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.