Lâcher prise pour reprendre les rênes de ma vie
Durant des années, toute ma vie en fait, je me suis tenu à un rôle, comme au cinéma, et comme la plupart d’entre vous, vous là, ceux qui me lise. Je me suis tenu à un rôle de contrôle, celui de ma vie, de mes relations, de comment je devais être, comment je devais agir. Je jouais le rôle que je m’étais attribué en fonction de ce que mon environnement me dictait. Je pensais alors pouvoir vivre en harmonie avec moi-même en étant de ce rôle, actif certes, mais si assujetti que l’acteur que j’étais devenu prit lieu et place à la personne que je suis réellement.
Ce rôle d’apparence d’être fonctionne comme une horloge, et plus le temps passe, plus il est visible et plus approche l’instant d’éloignement que nous sommes vraiment face au subterfuge de comportement que nous laissons paraitre. Car par-être n’est pas nous, et plus nous paraissons, plus nous nous éloignons de notre vérité intérieure, plus les choses risquent à un moment ou à l’autre, de se gâter, c’est à dire d’exploser.
Au début, nous pouvons nous convaincre que d’agir de telle manière est bénéfique à notre vie, cela nous rendra plus apte et plus convaincant, plus attrayant, plus aimé aussi. Mais cette pensée n’est qu’illusion, elle nous enferme et nous limite prodigieusement dans notre capacité d’action et de réalisation, car tant que nous n’affirmons pas qui nous sommes aux yeux du monde, nous ne pouvons prétendre à vivre la vie que nous nous rêvons, nous ne pouvons nous sentir bien dans notre corps, car toujours, des sentiments et des émotions contraires, à l’opposé de ce que nous voulons montrer, nous assaillent, ce sont les mots du corps, de notre esprit, pour nous rappeler qu’il y a dissonance envers ce que nous sommes et ce que nous paraissons, ce que nous réalisons.
Alors vient le moment où, comme par coup de sagesse, par acquis de conscience, nous disons stop. Cela peut prendre des années et parfois même jamais. Vous savez ces vieilles personnes revanchardes et tristes que nous croisons tous les jours… Elles se sont si éloignées, n’ont pas vécue la vie qu’elles désiraient pour x ou y raisons, allant d’un blocage émotionnel, conscientisé ou non, à une affirmation de se positionner dans la société, le cercle familial, amical, amoureux…
Durant des années, toute ma vie en fait, je me suis tenu à un rôle, comme au cinéma, et comme la plupart d’entre vous, vous là, ceux qui me lise. Je me suis tenu à un rôle de contrôle, celui de ma vie, de mes relations, de comment je devais être, comment je devais agir. Je jouais le rôle que je m’étais attribué en fonction de ce que mon environnement me dictait. Je pensais alors pouvoir vivre en harmonie avec moi-même en étant de ce rôle, actif certes, mais si assujetti que l’acteur que j’étais devenu prit lieu et place à la personne que je suis réellement. Ce rôle d’apparence d’être fonctionne comme une horloge, et plus le temps passe, plus il est visible et plus approche l’instant d’éloignement que nous sommes vraiment face au subterfuge de comportement que nous laissons paraitre. Car par-être n’est pas nous, et plus nous paraissons, plus nous nous éloignons de notre vérité intérieure, plus les choses risquent à un moment ou à l’autre, de se gâter, c’est à dire d’exploser. Au début, nous pouvons nous convaincre que d’agir de telle manière est bénéfique à notre vie, cela nous rendra plus apte et plus convaincant, plus attrayant, plus aimé aussi. Mais cette pensée n’est qu’illusion, elle nous enferme et nous limite prodigieusement dans notre capacité d’action et de réalisation, car tant que nous n’affirmons pas qui nous sommes aux yeux du monde, nous ne pouvons prétendre à vivre la vie que nous nous rêvons, nous ne pouvons nous sentir bien dans notre corps, car toujours, des sentiments et des émotions contraires, à l’opposé de ce que nous voulons montrer, nous assaillent, ce sont les mots du corps, de notre esprit, pour nous rappeler qu’il y a dissonance envers ce que nous sommes et ce que nous paraissons, ce que nous réalisons. Alors vient le moment où, comme par coup de sagesse, par acquis de conscience, nous disons stop. Cela peut prendre des années et parfois même jamais. Vous savez ces vieilles personnes revanchardes et tristes que nous croisons tous les jours… Elles se sont si éloignées, n’ont pas vécue la vie qu’elles désiraient pour x ou y raisons, allant d’un blocage émotionnel, conscientisé ou non, à une affirmation de se positionner dans la société, le cercle familial, amical, amoureux…
Nous disons stop, nous disons qu’il en est trop, que nous en avons marre. Notre mental se braque, notre ego nous explique que nous faisons n’importe quoi, mais notre cœur sait, lui, il nous dit de continuer, d’y aller franco et de ne plus hésiter. « Affirme-toi bordel », « montre nous qui tu es ». Car en affirmant ce que nous sommes, nous nous affirmons enfin à nous-même ce que nous avons à donner et à exprimer, enfin nous nous réalisons dans la manifestation de notre être intérieur, notre moi profond, celui qui nous définit, malgré et bon gré nos actes de conscience et de vie.
Cette étape d’affirmation ne se fait qu’à une condition, celle de l’amour que nous éprouvons pour nous, ce que nous sommes et avons été. À cette étape suivra celle du pardon, « je me pardonne d’avoir agit comme cela, d’avoir été (ou pas d’ailleurs) comme cela ».
Le pardon, étape incroyable et merveilleuse qui nous emmène encore plus loin dans notre acceptation de nous même, à nous même et aux autres est la marche que nous franchissons quand nous sommes prêt à reprendre le contrôle de notre être. À cet instant là, nous réalisons enfin que la seule manière de contrôler notre vie, c’est de ne pas la contrôler, mais de laisser agir les évènements, de les laisser s’épanouir et de les vivre, de la manière la plus intense qu’il nous ait donné de faire.
Le lâcher prise est là, nous nous acceptons et par le fait, nous acceptons les évènements de notre vie, nous nous acceptons aux yeux des autres, nous nous réalisons. Nous émanons notre volonté d’être ce que nous sommes et non plus ce que nous voulions paraître, c’est merveilleux. Enfin nous reprenons les rênes de notre vie, nous pouvons être heureux… La vie est tellement belle, à nous de le voir, à nous de la vivre :).
Nous disons stop, nous disons qu’il en est trop, que nous en avons marre. Notre mental se braque, notre ego nous explique que nous faisons n’importe quoi, mais notre cœur sait, lui, il nous dit de continuer, d’y aller franco et de ne plus hésiter. « Affirme-toi bordel », « montre nous qui tu es ». Car en affirmant ce que nous sommes, nous nous affirmons enfin à nous-même ce que nous avons à donner et à exprimer, enfin nous nous réalisons dans la manifestation de notre être intérieur, notre moi profond, celui qui nous définit, malgré et bon gré nos actes de conscience et de vie. Cette étape d’affirmation ne se fait qu’à une condition, celle de l’amour que nous éprouvons pour nous, ce que nous sommes et avons été. À cette étape suivra celle du pardon, « je me pardonne d’avoir agit comme cela, d’avoir été (ou pas d’ailleurs) comme cela ». Le pardon, étape incroyable et merveilleuse qui nous emmène encore plus loin dans notre acceptation de nous même, à nous même et aux autres est la marche que nous franchissons quand nous sommes prêt à reprendre le contrôle de notre être. À cet instant là, nous réalisons enfin que la seule manière de contrôler notre vie, c’est de ne pas la contrôler, mais de laisser agir les évènements, de les laisser s’épanouir et de les vivre, de la manière la plus intense qu’il nous ait donné de faire. Le lâcher prise est là, nous nous acceptons et par le fait, nous acceptons les évènements de notre vie, nous nous acceptons aux yeux des autres, nous nous réalisons. Nous émanons notre volonté d’être ce que nous sommes et non plus ce que nous voulions paraître, c’est merveilleux. Enfin nous reprenons les rênes de notre vie, nous pouvons être heureux… La vie est tellement belle, à nous de le voir, à nous de la vivre :).
Témoignage de Adrien Ruet
Auteur : www.justenaturo.com
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