L’Ascension

L’Ascension

Une fois n’est pas coutume, nous allons nous exprimer au sujet de « l’ascension », cette mythique « ascension » dont parlent tous les mouvements « New Age » et apparentés de près ou de loin. Il est certain qu’il ne s’agit en aucune manière de quitter la Terre en soucoupes volantes pour regagner une nouvelle sorte de paradis ayant son siège sur autre autre planète (le « rendez-vous » ayant bel et bien été manqué à ce titre en décembre 2012, correspondant à un début de synchronisation de tous les mondes habités sur le référentiel sur lequel a été syntonisée la note de fond du nouveau paradigme).

Est-il nécessaire de rappeler que le mouvement « New Age » est un mouvement initialement créé par l’Ennemi afin de récupérer les dissidents à l’idée des guerres sans cesses organisées par ses soins.

L’ascension à la Énième dimension est également une vue de l’esprit, une manière d’envisager ou de comprendre le phénomène qui est actuellement en cours depuis le dernier solstice. En effet, le fameux « basculement » d’une civilisation à une autre est actuellement en train de s’opérer et cette année 2016 sera a marquer d’une pierre blanche dans l’histoire de l’Humanité, celle-ci et la suivante. Le nouveau paradigme est effectivement en train de s’instaurer et le pseudo-ralliement des Rothschild et consort au Dragon Blanc marque l’évidence de la fin de leur univers.

Maintenant il faut comprendre ce que ce « nouveau paradigme » implique au quotidien au-delà de la terminologie à la mode sur le web. Le Trésor de la Langue Française nous donne en substance cette approximation relative au paradigme: « Conception théorique dominante ayant cours à une certaine époque dans une communauté scientifique donnée, qui fonde les types d’explication envisageables, et les types de faits à découvrir dans une science donnée« . En premier lieu le paradigme n’est admis que dans un cadre extrêmement étroit, ici le milieu scientifique. D’autre part, on nous parle de « un moment donné« , c’est-à dire relié à une habitude de pensée, en quelque sorte une forme de mode. En l’occurrence la réalité en rapport va beaucoup plus loin. Il s’agit de l’accès à une possibilité d’observation plus vaste, d’une forme de compréhension dépassant les limites connues jusqu’alors, en somme, d’une élévation de la conscience vers une approche toute différente et globalement bien plus vaste que ce que permettait le prêt-à penser généreusement offert par l’élite financière dominant la civilisation humaine souhaitée abrutie et servile.

Il est néanmoins très clair qu’au-delà de l’espace de liberté et de découvertes que cela implique naturellement pour qui est soumis à ce changement, il y a aussi la nécessité impérative d’une ouverture d’esprit suffisante pour pouvoir accepter de réformer entièrement, en profondeur, et à l’extrême, ce que tout un chacun avait toujours considéré comme étant vrai ou faux, comme relevant de la réalité ou de la fantaisie! Essayez de faire fluctuer les limites de ce que tout un chacun considère comme vrai ou faux en tant que le référentiel de son système de croyance, et ce sont autant « d’amis » ou prétendus tels qui seront perdus pour qui s’y essaiera auprès d’eux, au besoin le faisant passer pour un dictateur de la pensée. Or lorsque c’est la vie elle-même qui vient bouleverser ce référentiel, que fait-on? On se fâche avec la vie? Eh oui, en effet,pour certains en tout cas. Aussi étrange que ça puisse paraître quelques uns ne pourront supporter le gouffre du paradoxe qui aura été creusé par l’instauration, quelque part sans ménagement, du nouveau paradigme où certaines évidences relevant aujourd’hui de l’utopie, de la fantaisie, voire de la stupidité pour les plus radicaux des esprits contemporains, s’imposeront de fait dans les consciences parce que tel sera le mode de la pensée de la réalité du moment, faisant que les serviteurs du Chaos et les chantres de sa perversion (car il y a en effet une perversion du chaos) se trouveront ainsi projetés dans un milieu fondamentalement incompatible avec leur nature et périront irrésistiblement.

Cette notion de changement de mode de pensée et du registre de réalité en rapport peut être difficile à concevoir, n’ayant pas le recul mental nécessaire à son appréciation (rendant de même et en cela difficile à tout un chacun, voire impossible, une préparation préalable à ce qui va s’imposer en terme de réalité à l’Humanité en tant que germe de la nouvelle civilisation planétaire sur notre planète, le Royaume planétaire de « Terre mère-Gaïa »). Je vais prendre un exemple qui devrait être éclairant car il est le signe évident de cette modification de l’appréciation de la réalité due à la nouvelle instauration paradigmatique au sein du système solaire d’une part, mais aussi de l’ensemble des mondes se synchronisant les uns les autres sur la nouvelle note de référence de la « matrice » que représente notre vision de ce qu’est l’univers, la Création.

Il n’aura sans doute échappé à nul Internaute que depuis quelques mois s’opposent deux théories, l’une fantaisiste renaissant du fond des âges, l’autre, à laquelle s’oppose la première, raisonnable et communément admise. Il s’agit de la théorie de la Terre plate, s’opposant à celle de la Terre ronde. Il est très étonnant que les adeptes de la première aient pu rassembler tant de preuves flagrantes de la platitude de la planète (notamment l’écart de zéro degré d’angle entre les lignes de projection de la verticalité d’immeubles éloignés entre eux de la ville de Manhattan, après mesures au laser, pas même un millième degré, ou encore l’impossibilité, de rejoindre d’un seul jet par voie aérienne deux points distants situés sur des méridiens différents en hémisphère sud, alors que la même distance peut sans aucun problème être parcourue si les points de départ et d’arrivée se trouvent sur les mêmes méridiens, et le même parallèle mais en hémisphère nord). De part et d’autre il existe des faits tendant à rendre quelque part irréfutable l’une et l’autre thèse, notamment, au bénéfice de celle de la Terre ronde,celui de la disparition progressive sous la ligne d’horizon d’un bateau s’éloignant des côtes; disparition de la coque du navire d’abord pour finir par le sommet du bâtiment, attestant de la rotondité de la planète; rotondité qui pourtant n’apparaît aucunement en altitude, même à 35.000 Km !

Alors qu’en est-il vraiment ?

Eh bien la Terre n’a jamais été plate. Évidemment. Mais elle n’a jamais été ronde non plus… évidemment. La Terre, comme le reste de l’univers et des autres univers, n’a jamais été que ce que l’esprit collectif en aura fait. Le fait est que la Terre est beaucoup plus grande que ce qu’on nous a enseigné et que les proportions de terres les unes par rapport aux autres sont très différentes également du canon établi par la cartographie officielle, justifiant le maquillage systématique les photos satellites de la Terre.

Ceci dit cela n’explique pas pourquoi les preuves existent attestant la validité apparente des deux thèses, pourtant très opposées l’une à l’autre, c’est le moins qu’on puisse dire. Ce que nous concevons en tant que « Terre plate » et « Terre ronde » n’est que l’interprétation mentale d’une forme de réalité à laquelle nous sommes confrontés. A cela s’ajoutent des modifications dimensionnelles dans le rayonnement solaire (puisque c’est lui qui définit ce qui est « réel » et « possible » de ce qui ne l’est pas dans le vaste cadre du champ dimensionnel global de tout ce qui est soumis à son influence; c’est assez fortement résumé mais l’idée est là).

Voilà donc pourquoi la théorie de la Terre plate représente une effective possibilité alors qu’elle se trouve être (à peu près) ronde, du moins aussi ronde que la conscience collective de l’Humanité est capable de l’envisager. C’est précisément sur ce point que je vais légitimer le titre de cet article.

Imaginez un monde (le nôtre) vibrant sur une réalité essentiellement envisagée comme ayant trois dimensions (longueur, largeur, épaisseur). Imaginez que l’Humanité qui l’habite (nous) ait une pensée également structurée en trois dimensions, mise en adéquation avec ce monde tridimensionnel qui n’est tridimensionnel que parce qu’il n’est envisagé qu’avec une pensée qui l’est aussi! C’est l’histoire de l’œuf et de la poule mais peu importe, là n’est pas notre problème actuellement.

Imaginez maintenant que cette Humanité accède sans en avoir conscience, ou sans pouvoir asseoir son ressenti en rapport sur des éléments concrets, à une dimension mentale de plus. Chacun serait donc à même de contempler le monde tridimensionnel à partir d’un regard et d’une compréhension quadridimensionnels sans en avoir conscience. La certitude mentale aidant, chacun continuerait à voir le monde qu’il a l’habitude de voir selon la manière habituelle; le mental ne se satisfaisant que de ce qui lui semble crédible en fonction du conditionnement, de la programmation dont il a fait l’objet en tant que bases de références (l’éducation familiale, scolaire, les postulats énoncés en vérités absolue, etc.) et corrigeant lui-même la réalité perçue en fonction de ces mêmes référents, voire l’influençant dans les formes lorsque le mental devient collectif et qu’il recèle alors le pouvoir de plier la réalité pour qu’elle puisse correspondre à ses propres limitations alors que l’observateur lambda, très loin d’imaginer le phénomène dont il est à la fois l’auteur et l’objet, pense ne contempler que ce qui est et non ce qu’il veut voir.

Les choses deviennent en revanche différentes lorsqu’il s’agit d’observer quelque chose sur lequel nul parmi les mêmes observateurs lambda n’a jamais l’occasion d’avoir le recul nécessaire à une vision détachée, bien que l’objet de cette observation ne lui soit pourtant pas fondamentalement inaccessible. Vous dire qu’il n’y a aucune « distance » entre notre galaxie et la plus proche de nous est une idée absconse mais vraie ou fausse vous seriez bien incapable d’aller le vérifier. En revanche en vous parlant d’observation de notre planète, même si nul ne peut prendre sa navette personnelle pour aller vérifier ce qu’il en est, les mesures et les observations sont malgré tout de l’ordre du possible. Quand bien même sauriez-vous intellectuellement ce qu’il en est pour l’avoir appris et entendu dire et répété depuis votre enfance, la taille, la forme exacte, et l’ensemble de ce qui relève de la vaste réalité de notre monde en tant que planète, en tant que sphère cosmique voyageant dans l’espace, n’est pas une réalité qui relève de votre vécu personnel quotidien, si ce n’est par l’infime parcelle que vous en occupez du fait de votre présence dans l’incarnation, et l’espace à peine moins infime que vous en parcourez au quotidien. Quand bien même seriez-vous un grand voyageur, vous n’en parcourriez qu’infime parcelle après infime parcelle et non la pleine réalité de sa surface globale en tant que sphère cosmique. Cette réalité-là représente donc pour vous un postulat admissible et donc admis comme tel puisque telle est la « vérité » qui vous a été enseignée et a été entretenue dans votre esprit.

Admettons donc que pour cette raison essentiellement notre planète soit un excellent objet d’observation pour notre Humanité dotée à présent d’un esprit à quatre dimensions mais incapable d’en formaliser pour autant l’évidence répercutée sur sa manière de voir son quotidien; laquelle planète dans sa réalité globale est suffisamment éloignée du quotidien du plus grand nombre, tout en représentant une possibilité de recul suffisant pour permettre une appréhension mentale.

Voici donc pourquoi il existe (assez soudainement) la réapparition de la théorie de la Terre plate. Si vous disposez d’un mental tridimensionnel pour observer un espace ou un volume tridimensionnel (ou admis comme tel, que ce soit vrai ou faux), l’évidence de sa tridimensionnalité apparaîtra le plus clairement et le plus naturellement du monde. Mais si sans le savoir vous venez de disposer d’un mental quadridimensionnel alors que lui-même ne l’a pas conscientisé, et que vous observiez un espace ou un volume tridimensionnel (ou admis comme tel toujours), vous allez vous mettre en réalité à observer un volume doté d’une dimension de moins que votre propre esprit.Croyant dur comme fer que votre esprit est tridimensionnel, votre observation va vous conduire à voir ce que vous observer comme ayant une dimension de moins, soit non pas trois mais deux dimensions. En observant la Terre dont vous ignorez tout en tant qu’objet global et en termes de vécu personnel, un nombre impressionnant d’éléments vont venir corroborer le fait que cet objet en 3D (la Terre) recèle effectivement une dimension de moins, soit un objet en 2D. La formalisation mentale la plus proche de cette interprétation serait alors une Terre plate. Les certitudes établies de l’observateur vont le confronter à un ensemble d’interprétations de signaux attestant ce fait s’il a l’esprit assez ouvert pour l’admettre ainsi (mêmes s’ils sont basés sur les résultats de mesures scientifiques), mis ainsi en face de l’évidence effective qu’il observe un objet ayant une dimension de moins que son esprit.

Ainsi, lorsque l’Humanité aura assimilé le fait que son esprit est désormais doté d’une dimension supplémentaire, en adéquation avec le nouveau paradigme en cours d’instauration, elle percevra une fois encore de manière unanime la Terre comme étant ronde, dotée toujours d’une dimension de moins (4D – 1D = 3D) mais alors en portant sur elle un regard totalement lucide et non plus illusionné comme il l’est aujourd’hui, tant de la part des adeptes de la théorie de la Terre plate que de ceux de la Terre ronde. Ce recul permis par un esprit ayant une dimension de plus que l’objet observé (du moins considéré arbitrairement comme n’en ayant que trois) va permettre un aperçu entièrement neuf de la réalité en rapport, puis de l’ensemble de toutes les réalité qui en dépendent et y sont inter-reliées.

L’évolution suivante sera l’admission que l’univers est quadridimensionnel et chacun, enseigné de ce fait représentant le prochain standard, fera perdre en quelque sorte ce recul, jusqu’à ce qu’un nouveau saut quantique induisant un nouveau bon de l’évolution humaine, fasse accéder la conscience mentale de l’Humanité, alors devenue conscience « supra-mentale » non-limitée, à une dimension de plus, une cinquième, lui permettant de porter sur elle-même et l’univers, un nouveau regard entièrement neuf, et cela sans fin, de millénaires en millénaires, jusqu’à l’extinction de la vie sur le sol de notre monde, dans la perpétuation de la vie de tous les mondes au sein de tous les univers de la Création.

Cet exemple est très imagé, mais le fondement de cette divergence d’opinion entre les deux théories de la forme de la Terre trouve en cette nouvelle réalité son plein fondement, et l’accès, « l’ascension » à cette dimension supplémentaire de l’esprit EST cette « ascension » dont tout le monde parle. Il n’y en aura aucune autre. En cela et pour résumer, la Terre n’est ni plate ni ronde, elle est telle que vous la voyez, telle que vous avez appris à la voir, telle que vous avez envie de la voir, telle qu’elle vous rassure dans le carcan de vos certitudes absolues d’évidences mentales qui ne sont vraies que parce que vous les admettez telles. La forme est une énergie. La pensée aussi. La rencontre des deux crée toutes les réalités du monde mais aussi vous emprisonne dans une geôle faite de miroirs déformants du sol au plafond et qui sans cesses ne vous renvoient en définitive que votre propre image.

Ceux qui seront incapables d’accéder à ce nouveau paradigme imposant de nouvelles lois sur base de la réforme d’une ancienne conscience mentale aujourd’hui obsolète,ceux qui la refuseront, se sentant dérangés dans leur confort mental ou spirituel, ou ceux qui tenteront d’en tirer profit pour asseoir une forme quelconque de pouvoir sur autrui, ou qui tenteront de l’approcher davantage avec l’esprit figé plutôt qu’avec le cœur ouvert, pourront en sombrer dans la perte de la raison laissée sans plus aucun modèle de référence, échouée sur les rivages de la mémoire, voire jusqu’à la mort par inadaptation, appelée de tous leurs vœux en tant que seule solution envisageable à la perte totale de leurs repères antérieurs, instaurés par l’Ennemi à leur bénéfice, ou plutôt à leur maléfice. Quant à l’Ennemi lui-même, sous sa forme actuelle du moins, il s’y dissoudra à jamais dans toutes ses manifestations.

En revanche, ceux qui sauront surfer sur la vague et s’ouvrir aux réalités du Merveilleux, alors élevé en rang du Sacré, seront les pionniers de la nouvelle Humanité, fondée sur l’Amour-Force, la haute-compréhension, la joie, la liberté, au milieu des hordes de licornes, en somme tout ce qui, selon les référents actuels, en effet, ne peut exister, ne représentant qu’une impossible utopie. Le nouveau paradigme s’installe à cet effet: rendre possible ce qui ne l’était pas jusqu’alors, les possibles ou impossibles horreurs et injustices en moins.

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