Pensée du jour 06 juin 2023
La petite voix méditation quotidienne Eileen Caddy
Tout ce qui se passe dans ta vie découle de ta conscience. Elève-la et tu élèves tout ton être, toute ta façon de voir la vie, et tu commences à vivre la vie pleine et splendide qui est ton authentique héritage. On peut t’en parler, et tu peux voir les autres la vivre; mais tant qu’elle ne pénètre pas ta conscience et que tu ne peux pas accepter qu’elle t’est destinée, rien ne se passe.
L’âme la plus simple en apparence, qui est semblable à celle d’un enfant, peut accepter le royaume des cieux bien plus facilement que l’âme la plus profondément intellectuelle, qui pense connaître toutes les réponses avec son mental, mais dont la conscience n’a pas été élevée à de plus hauts niveaux. Toute âme peut atteindre un état de conscience élevé. Mais c’est quelque chose qui doit être accompli de l’intérieur, à partir d’une connaissance intérieure, d’une inspiration et d’une intuition qui ne nécessitent aucun savoir ni sagesse extérieurs. Tout est là, au fond de chaque âme, simplement dans l’attente qu’on le reconnaisse, qu’on le fasse émerger et qu’on le vive.
Pensée du jour d’Omraam Mikhaël Aïvanhov
Pensée du 06 juin 2023
Monter en grade – intérieurement, pour être obéi par ses cellules
On voit partout dans le monde des gens faire tout ce qu’ils peuvent pour monter en grade. Ils savent que chaque fois qu’ils graviront un échelon, ils seront mieux considérés, ils gagneront plus d’argent, ils auront davantage de responsabilités et de personnes sous leurs ordres. Eh oui, changement de situation ! Il y a un grand enseignement dans cette affaire-là, tout le monde le sait, le voit et tâche de le mettre en pratique. Malheureusement, ce n’est qu’une toute petite minorité d’êtres qui ont compris que le même effort de monter en grade doit être fait intérieurement pour être écouté, obéi et avoir plus de prestige vis-à-vis de ce peuple de cellules en eux qui ne demande qu’à en faire à sa tête. Regardez seulement dans la rue un agent de police qui règle la circulation : tout le monde lui obéit. Il dit : « Circulez », et même les plus grands professeurs circulent. Lui-même n’a peut-être aucune instruction, mais un uniforme et un petit bâton suffisent. C’est la même chose en vous : si vous portez certains « vêtements », certains « insignes », vos cellules qui sont vos sujets, vos administrés, sont impressionnées et elles vous obéissent.