Pensée du jour 25 novembre 2022
La petite voix pensée méditation quotidienne Eileen Caddy
La souffrance n’est pas nécessaire dans le Nouvel Age. Pour les âmes qui entrent dans le nouveau, la souffrance n’est plus. Si tu as encore l’impression que souffrir est nécessaire, tu n’es pas du nouveau, mais fermement coincé dans l’ancien. Tu demeureras là, et tu attireras à toi la souffrance, jusqu’à ce que, de ton propre libre arbitre, tu avances et acceptes que ce ne soit plus le cas.
Concentre-toi sur les merveilles et les joies de cette vie, et accepte le meilleur, qui est ton véritable héritage. Ce n’est pas faire l’autruche qui a peur de la vie et n’y fait pas face. C’est voir la réalité de cette vie radieuse qui est tienne et, ce faisant, aider à la faire advenir. Plus tu peux la voir clairement, plus cela viendra vite. Accepte la vision du nouveau ciel et de la nouvelle terre, et maintiens-la toujours dans ta conscience, car ce n’est pas un rêve inaccessible. Il est réalité et tu en fais partie.
Pensée du jour d’Omraam Mikhaël Aïvanhov
Pensée du 25 novembre 2022
Séphiroth – vases sacrés remplis par le fleuve de la vie
La vie n’est qu’une circulation, un transvasement d’énergies. C’est pourquoi la Science initiatique a donné l’image du fleuve de la vie qui jaillit de la Source divine et descend pour alimenter toutes les régions de l’univers. D’après la Kabbale, ce fleuve coule d’abord dans la première séphira, Kéther. Kéther se remplit, déborde et se déverse dans la séphira suivante, Hohmah. Hohmah se remplit et, à son tour, lorsqu’elle déborde, l’eau est recueillie par Binah. Quand Binah est remplie, l’eau se déverse dans Hessed… De Hessed à Guébourah, de Guébourah à Tiphéreth, de Tiphéreth à Netsah, de Netsah à Hod, de Hod à Iésod, le fleuve de vie descend jusqu’à Malhouth, la terre. Les séphiroth sont les vases sacrés que remplit la source inépuisable de la vie.