
les etoiles
Ce que nous nommons stellaire : — Arcturiens, Pléiadiens, Andromédiens, et tant d’autres — ne sont pas une espèce distincte de l’humain. Ils sont des expressions évoluées de la conscience humaine, des versions de nous-mêmes ayant traversé les densités de la matière pour s’unifier avec leur origine-source.
La première étape de cette grande aventure commence ici, sur Terre, là où la dualité est la plus intense, là où la Source choisit de s’incarner dans la matière. Pourquoi ? Pour se connaître à travers les contraires, pour expérimenter ce qu’Elle n’est pas, et ainsi révéler ce qu’Elle est.
L’âme, fragment de la Source, évolue de vie en vie, traversant des dimensions de plus en plus subtiles. À mesure que la conscience s’élargit, le corps mute également : il devient plus léger, plus lumineux. La matière se spiritualise, la densité s’efface. C’est ainsi que l’humain devient stellaire : non par un changement d’espèce, mais par une transformation vibratoire.
Les différentes appellations stellaires ne sont que des « nationalités » cosmiques, des localisations vibratoires dans l’espace intergalactique. Ce ne sont ni des dieux à vénérer ni des sauveurs à attendre. Ce sont nos frères, nos futurs, nos reflets dans la lumière.
La Terre est le berceau précieux de cette mutation. Elle est un champ d’apprentissage unique pour l’évolution de la conscience. C’est ici que débute le grand voyage vers la réunification intérieure. Et c’est ici que l’humain retrouve sa nature stellaire, en cessant de se croire séparé.
Nous sommes les stellaires. L’humain n’est pas au bas d’une échelle cosmique ; il est le point de départ sacré de l’expérience de la Source dans la densité. Nous sommes la Source incarnée en mutation.
Michel Canon