Abandonner l’irréel

Abandonner l’irréel

Le monde que vous percevez n’est pas un monde créé. C’est un monde fait. C’est un voile qui obscurcit la lumière. Vous pouvez sentir ce voile à chaque fois que vous ressentez de la tension. Cette tension consiste à bloquer intentionnellement la conscience de l’Amour que vous êtes parce que vous avez peur de la dissolution du voile. Vous avez l’habitude de voir le voile comme votre sécurité. L’idée de sécurité personnelle est faite de nombreux concepts interdépendants. Quand vous pouvez voir qu’ils sont tous, sans exception, insignifiants, vous devenez disposé à voir ce qui est vraiment.

Tout ce qui est fait dans ce monde vous renvoie un désir ardent, un effort. Tout désir est pour l’Amour. C’est pour un retour à la paix, une conscience totale de ce que vous êtes. Quand vous regardez les choses de ce monde, peu importe ce qu’elles semblent être, peu importe la valeur qu’elles semblent avoir, peu importe si elles semblent être bonnes ou mauvaises, elles sont toutes un appel à la paix. Lorsque vous êtes identifié de façon égoïste, la raison pour laquelle vous faites cela est que, en le faisant, vous croyez que vous obtiendrez quelque chose qui vous manque. Vous pensez que vous pourriez obtenir la paix, la sécurité ou une meilleure image de vous-même. Vous pensez que vous éviterez la culpabilité.

Tous les actes sont innocents. Ils ont à la racine l’aspiration à la paix, la recherche d’un moyen de mettre fin à l’agitation intérieure. Quand vous vous surprenez en train de juger d’une action – une action du passé, une action anticipée dans le futur, une action qui ressemble à la vôtre, une action qui semble provenir d’un souvenir séparé – souvenez-vous qu’aucune action n’a jamais été effectuée. Tout ce que l’on fait est pensé. Au niveau de la pensée, vous pouvez croire en l’expérience d’une action. Évaluer l’une ou l’autre de ces actions n’a aucun sens.

Comment allez-vous naviguer ? Vous avez l’habitude d’évaluer les actes, d’approuver les actes, de les condamner, de les regretter, de les planifier et de les anticiper. Tout cela se passe dans l’esprit. Que reste-t-il quand vous effacez tout cela, quand vous voyez le néant de tout cela ? Tout ce qui reste, c’est l’intuition, la direction, le cœur. Quand vous voyez vraiment que c’est tout ce qui reste, vous êtes ouvert aux conseils.

Et puis il y a la finesse du monde que vous avez fait. Le monde que vous avez fait. C’est très bien d’en assumer la responsabilité. Vous ne serez pas punis pour avoir créé un tel monde, puisque la punition n’existe pas. Vous ne serez pas condamnés pour avoir fait un tel monde, puisque la condamnation n’existe pas. C’est dans le monde que vous vous offrez l’expérience des deux à vous-même. Quand on prend la responsabilité de faire le monde, on peut aussi le laisser aller. En tant que créateur, vous pouvez vous rendre. Il n’est pas possible d’être victime de ce que l’on peut libérer.

Alors, retour à la nature du monde. Il semble y avoir de belles choses et de vilaines choses dans le monde que vous avez fait. Il peut y avoir une belle voix. Il peut y avoir une protestation apparemment pleine de haine. Ils sont égaux. Ils sont tous deux l’expression d’un désir ardent de plénitude de la Source. Quand vous apprenez à regarder au-delà d’eux deux, alors vous n’êtes pas attaché au monde. Comme vous n’êtes pas attaché au monde, vous êtes capable de le libérer.

Est-il possible de ne pas accorder plus de valeur à une chose du monde qu’à une autre ? Ne pas s’attacher à la certitude qu’une facette d’un monde illusoire est pire qu’une autre ? Utilisez votre capacité à poser des questions. Souvenez-vous que nous sommes toujours ici et que nous ne croyons pas en un monde qui n’est pas réel. Nous sommes capables de vous voir dans votre état de croyance, et nous sommes capables d’offrir de l’aide à votre esprit, qui est le nôtre.

Ainsi, lorsque vous voyez que vous êtes attaché à une définition particulière de la notion de meilleure ou pire minceur, demandez si c’est la vérité. Faites appel à nous. Nous sommes là pour vous aider. Nous ne sommes pas là pour vous aider à mincir, notre cher et divin frère. Votre attachement à la minceur est la cause de votre souffrance. Nous ne sommes pas ici pour vous aider à obtenir de meilleurs résultats. Si nous vous aidions à améliorer votre condition, nous vous laisserions dans la souffrance, ce que nous ne pouvons pas faire.

Nous vous remercions, nous vous aimons et nous vous célébrons, vous qui brillez toujours. C’est notre grande joie de vous aider à le voir.

Merci à Betty, qui m’a aidé à finir de recevoir un message que je bloquais. Soudain…. l’inspiration et la fluidité !

Les Anges, canalisé par Julie

Site : https://lovesbeginning.com/

Source : Traduit par Bernard pour https://messagescelestes.ca

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